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Les doigts du pianiste

29.03.2022

Il faisait chaud à étouffer cet été-là. Les trottoirs brûlants étaient vides. Ceux qui le pouvaient se cachaient de la chaleur du soleil de juin et ne sortaient que le soir.

J’étais assise dans un fauteuil en osier au milieu du jardin, essayant de faire rentrer dans ma tête les questions pour mon examen de fin d’année à l'ombre de la couronne tentaculaire d’un vieux cerisier.

Mes pensées allaient dans tous les sens possibles et le bourdonnement des abeilles travailleuses me rappelait désagréablement ma propre incapacité à me concentrer sur ce que je lisais, sans parler de ce qui devait se graver dans ma tête.

J'appuyai mes pieds nus sur un panier renversé, glissant un peu plus bas dans mon fauteuil et en remontant ma longue et ample jupe pour exposer mes jambes au soleil sur toute leur longueur. Puisque j’ai une tête complètement creuse, que je sois au moins joliment bronzée. Mais cela ne m'aidera guère devant le jury.

Agacée, je me levai pour aller chercher un autre verre de limonade maison saveur concombre avec de la menthe, du citron et beaucoup de glace. Au moment où je saisissais la cruche vide sur la table en me dirigeant vers la maison, les tonalités familières de l'Eté de Vivaldi sortirent de la fenêtre grande ouverte du deuxième étage de la villa d'en face.

Les doigts de quelqu'un dansaient à un rythme effréné sur les touches avec une aisance presque anormale dans cette chaleur. Il y a une semaine, j'avais vu des camions de déménagement devant la villa.

Un piano à queue était sorti de l’un d’eux sur une rampe avec un convoyeur à bande spécial. Un homme grand et mince aux cheveux noirs et aux tempes légèrement grises se promenait nerveusement autour. Dans les trente-cinq ans environ, pas plus. Ce serait donc lui qui jouerait ?

L'idée que c'était lui qui jouait ce beau et difficile morceau faisait battre mon cœur. J'imaginais ses doigts sur mon corps. Ils devaient être très agiles. Et ce sens du rythme…

Bon sang, pourquoi suis-je donc toujours aussi excitée quand je dois réviser. Quatre orgasmes par jour ne suffisent pas et même le vibromasseur essaie déjà de m’éviter. Et si je rencontrais ce nouveau voisin et m’amusais un peu ? Mais comment faire ? Les cerises me surgit-il dans la tête.
Les doigts du pianiste
Je reposai la cruche sur la table, attrapai le panier en osier sous l'arbre et, en un instant, je l’avais rempli à moitié de ces fruits juteux et mûrissant. J'enlevai l'épingle de mes cheveux et secouai la tête pour que les mèches ondulées de mes longs cheveux roux se déploient dans mon dos. Je marchai avec détermination jusqu'au but.

A ma grande surprise, non seulement le portail n’était pas fermé mais la porte de la villa était aussi entrouverte. Je me glissai à l'intérieur et montai le long escalier, bordé d'une rampe en bois massif, irrésistiblement attirée par le son envoûtant du piano.

Je me tenais entre la porte qui menait à une pièce lumineuse avec un parquet en chêne, dans laquelle il n'y avait qu'un piano à queue, un tabouret et Lui. Je me tenais tranquillement, attendant qu'il finisse.

Je tenais devant moi le panier de cerises comme une petite pastèque. Le dernier son s’acheva. Il se tourna lentement et sourit :

« J'espérais un peu que vous viendriez. Je pensais que vous aimez la musique, vous qui aimez tapoter avec vos doigts les accoudoirs de ce fauteuil en osier sur lequel vous êtes assise dans le jardin. »

Je restai à le regarder. Il me connaît. Et m’observe. Et me remarque. Il se leva et s'avança vers moi : « Je suis désolé, je ne me suis pas encore présenté. Bonjour. Je m'appelle Ludwig. Comme Beethoven » me dit-il taquin avec un clin d'œil.

« Ravie de vous rencontrer. Bonjour. Je suis Clara. »

« Un prénom merveilleux. Et qui vous va bien. Comment saviez-vous, Clara, que je voudrais quelque chose d'aussi rafraîchissant et juteux aujourd'hui même ? Je veux dire, bien sûr, les cerises que vous avez dans votre panier. »

Autour des yeux bleu foncé les éventails matois de rides commençantes, des dents parfaitement droites et une lèvre inférieure que je voudrais tout de suite croquer.

« Mais vous pouvez en prendre tout de suite si vous en avez envie. »

« Vraiment ? Si vous saviez combien j’en ai envie. Surtout quand j'imagine que vous les avez vous-même cueillies pour moi. Je vous ai vue hier quand je suis allé ouvrir la fenêtre le matin. Je ne pouvais pas vous quitter des yeux. Grimpez-vous toujours sur une échelle en jupe longue ? N'avez-vous pas peur de vous y emmêler ? »

« Cela ne s’est pas encore produit. Mais je n'exclus pas que cela arrive bientôt. »

« J’ai envie... d’un verre de whisky. Vous en prenez un avec moi ? Pour fêter notre rencontre ? »

« Pourquoi pas, merci. J'ai besoin de m'arrêter un peu et de me détendre. »

« Je suis vraiment content. Vous permettez ? » Il me prit le panier des mains. « Merci. Elles sont belles et la plus foncée a la couleur de vos lèvres. Ce sera sans aucun doute la plus douce. On y va ? »

Un long instant plus tard, je le regardai d’une énorme et antique chaise longue me servir un troisième verre. Le liquide doré coulait dans mes veines et une chaleur agréable se répandait dans mon corps.

Nous avions parlé de beaucoup de choses pendant presque une heure et je constatai avec stupéfaction à quel point Ludwig était drôle et charmant. J'avais probablement gardé mes yeux posés sur lui trop longtemps. Il s'approcha de moi et prit la main que j'avais tendue vers le verre : « Tu es merveilleusement brûlante. Tu en sais encore plus ? »

Il se pencha lentement vers moi en me donnant une chance de reculer. Mais c’était impossible, vraiment. J'avais trop attendu ce moment. Il embrassa le coin de ma bouche aux lèvres légèrement entrouvertes.

Je sentis l'odeur sombre de Dior Sauvage et une sensation agréable de gel coulai le long de ma colonne vertébrale. Je serrai sa lèvre inférieure entre les miennes. Nous nous sommes immédiatement embrassés comme des fous.

Il me tenait par le cou d'une main et passai le bord de l’auriculaire de son autre main sur mon sternum. Il s'arrêta au milieu puis se dirigea vers le sein gauche. Il le serra doucement. Mes mamelons se gonflèrent immédiatement jusqu’à la taille d'un noyau de cerise.

Il retira mon maillot de corps, serra mes seins fermes de taille D avec ses deux paumes, baissa sa tête et les embrassa l’un après l’autre. Je tenais sa tête et la serrais contre moi. Je le veux. Dès maintenant et ici. Ou je deviens folle.

Alors que ses lèvres et sa langue manipulaient mon mamelon gauche gonflé, je déboutonnai les boutons de sa chemise. Il releva la tête et commença à m'embrasser pour que nos langues s'entrelacent. L'odeur et le goût du whisky fin étaient le nectar le plus doux en ce moment.

L'énorme renflement de son pantalon rendait difficile son déboutonnage, mais il m'aida et réussit en même temps à retrousser ma jupe et à m’installer sur la chaise longue. Comment diable peut-il faire ça ? Il resta allongé entre mes cuisses bronzées et écartées.

Et puis je l'ai vu. Il était juste devant moi. Un bâton majestueux d'une épaisseur incroyable, vec un gland si géant que je n'avais jamais vu auparavant et une gouttelette scintillante au milieu. J'écarquillai les yeux de surprise.

Il souriait : « Je sais. Ne t'inquiète pas. Je vais bien te préparer pour que ça ne te fasse pas mal. »
Les doigts du pianiste
Il s'allongea à côté de moi, glissa son genou entre les miens, commença à me couvrir de doux baisers dans le cou, faisant courir le bout de sa langue sur ma carotide.

Il fit courir ses paumes le long de mon abdomen, tambourinant légèrement de ses doigts sur le sommet du mont de Vénus parfaitement rasé, passant doucement par le clitoris et essayant doucement d’entrer un puis deux doigts.

Cela glissait facilement, ce qui lui plaisait visiblement, et il commença à les faire rentrer et sortir doucement. Il revint au clitoris avec son pouce et commença à l'encercler en rythme. Il appuyait toujours légèrement sur le côté gauche. Il s’y connaît.

Puis il s'arrêta quelques secondes sans que ses longs doigts effilés ne quittent son territoire conquis. Je glapis et alla à leur rencontre. Il souriait amusé. Il changea de mouvement, appuya un instant en rythme la paroi supérieure avec ses deux doigts en alternant, puis commença à faire un geste avec ses doigts, comme s'il attirait quelqu'un vers lui.

Avec la paume de son autre main, il poussa légèrement mon ventre vers mes jambes, qui se mirent à trembler de façon incontrôlable. Je n'avais pas encore découvert cet endroit ni même avec un vibromasseur recourbé, peut-être que… Je jetai ma tête en arrière et gémis.

Ce gars est vraiment un virtuose. Puis je relevai la tête pour lui dire à quel point c'était beau. Sans même avoir eu le temps de respirer, Ludwig écarta largement ses doigts. Il ressortit lentement de moi et pressa les extrémités de l’os pubien des deux côtés.

En un instant j'eus l'impression d'avoir cette verge géante en moi.

« Peux-tu le faire, Clara ? » murmura-t-il. Et à nouveau son regard malin.

« Oui... Oui ! Je te veux en moi maintenant ! »

Il redevint sérieux en me regardant fixement dans les yeux. Il se déplaça élégamment entre mes cuisses grandes ouvertes. Il se releva sur ses mains, le laissant trouver son chemin tout seul et lentement, millimètre par millimètre, commença à me pénétrer. Il était merveilleusement dur.

Et un vrai géant. Je le sentais jusqu’au fond, comme s'il voulait creuser profondément dans mon ventre. Et il ressortait lentement. Et encore. Il n'arrêtait pas de me regarder de ses bras relevés. Il observait chaque mouvement sur mon visage. Je l'attrapai par les fesses.

« Tu le sens » ria-t-il.
«C’est ce dont tu as besoin. »

Il accéléra le rythme. Il avait changé l'angle de pénétration, comme s'il avait décidé d'explorer tous les coins que mon corps avait à offrir. Il s’appuya avec une main et mit les doigts de son autre main, encore humides de mon jus, dans ma bouche.

Je commençai à les sucer. J'avais deux trous remplis et ressentais une énergie incroyable. C'est comme si un circuit électrique était connecté en moi.
Je ne savais pas encore à quel point un mélange de plaisir et de douleur peut être beau.

Je ne sais pas combien de temps cela a duré, si je me contentais de gémir en silence ou si je criais. Je pouvais juste sentir son odeur âpre, la chaleur circulant dans mes veines et le fait que j'étais complètement remplie par sa verge parfaite. C'était comme s'il m'envahissait. 

Enfoncée dans la chaise longue, son corps ferme sur moi avec un parfum animal d’ambroxyde. J'enfonçai mes ongles dans son dos et au même moment je sentis son corps se soulever, pompant des doses de sperme en moi avec un énorme choc. Puis cela arriva comme une autre explosion.

Les contractions de son énorme verge, ainsi que les derniers coups profonds, m'envoyèrent presque sur Mars et j’avais joui comme jamais auparavant.

« Je suis désolé » murmura-t-il à mon oreille, « j'aurais dû t'attendre. Mais tu es si belle que je n’ai pas pu me retenir. »

« Espèce de fou » soufflai-je, « j’avais suffisamment à faire moi-même pour me retenir. C'était tellement incroyable que je voulais le retarder. »

« Ton orgasme ? » dit-il sans comprendre.

 « Oui. Je ne peux pas l’avoir deux fois de suite. »

« Vraiment ? » s’étonna-t-il. « Alors nous devrons te l’apprendre. Parce que mes doigts et celui d'en bas ont une opinion complètement différente sur cette question. Un autre verre de whisky ? »

Auteur: Marianne Giardon

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